Au départ, il est le lèche-bottes de Jacques Chirac, puis d'Édouard
Balladur, toujours en accord avec leurs idées et fier d'être gaulliste.
En 2002, lors de sa nomination au Ministère de l'intérieur, il est présenté comme un homme extrêmement nerveux, bourré de tics. Jusqu’à son élection en tant que président, il perçoit toutes discutions comme une menace extérieure (« Bon, qu'est-ce que t'as, t'es pas content ? »), et répétant des termes ayant fait polémique(Racaille, Kärcher, Allez hop hop hop !!! En tôle les jeunes !!).Pendant la campagne présidentielle de 2007, il est présenté comme un agité se dopant au lexomil pour se calmer et se detendre, répétant sans cesse "calme, cool, zen".
Depuis son élection en 2007, pour éviter des sujets sensibles, il ne
parle que de lui et de Carla Bruni, qu'il considère comme la plus belle
femme du monde parce qu'elle est la sienne : « Vous avez vus ma
femme tellement qu'elle est belle tellement qu'elle est mannequin tellement c'est ma femme ».
Il est souvent représenté en membre de la jet-set qui collectionne les objets de luxe ; les lunettes de soleil Ray-ban, les compagnies lowcost et surtout sa collection de montres Rolex, qu’il met en avant pour détourner les conversations embarrassantes. Un gag devient récurrent: vantant les mérites d'un objet de luxe qu'il possède, il dit "Je vous dis pas le prix, c'est indécent!". Réponse du journaliste: "On préfère pas, c'est votre vie privée...". Sarkozy l'interrompt:"- 2500 euros!".
mardi 2 juin 2009
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